"Aujourd'hui il existe une certaine conscience des limites des marchés. Le scandale dezs années 1990 ont jeté "la finance et le capitalisme de style américain" à bas du piédestal où ils se trouvaient depuis trop longtemps. Plus globalement, on a compris que la perspectivbe de Wall Street, souvent à courte vue, était diamétrazlement opposée au développement, qui exige une réflexion et une planification à long terme
On se rend compte aussi qu'il n'y a pas qu'une forme de capitalisme, une seule "bonne" façon de gérer l'économie. Il existe d'autres formes d'économie de marché (comme celle de la Suède, où la croissance est restée vigoureuse) qui ont créé des sociétés tout à fait différentes de celle des Etats-Unis, avec de meilleurs systèmes de santé et d'éducation et moins d'inégalité. Or du moment qsu'il y a des alternatives et des choix, ce sont les processus politiques démocratiques qui doivent êtree au centre des prises de décision, et non pas les technocrates.
L'un des principazux choix auquels toutes les sociétés sont confrontés concerne le rôle de l'Etat. Le succés économique nécessite de trouver le juste équilibre entre l'Etazt et le marché. Quels services lm'Etat doit-il fournir? Quelles réglementations doit-il instaurer pour protéger les travauilleurs, les consommateurs, l'environnement. il est clair que cet équilibre change avec le temps, et qu'il sera différent d'un pays à l'autre.
Dans ce livre je vais démontrer que la mondialisation, telle qu'on l'a imposée, a empêché d'obtenie l'équilibre requis...
450 pages
édition : serptembre 2006
Un autre monde, contre le fanatisme du marché
Prix
8,20 €