Bialot : La station Saint-Martin est fermée au public

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À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un jeune homme agonisant est ramassé par des soldats américains, sur une route allemande parsemée de cadavres. Surnommé Alex, il a tout oublié de l'enfer qu'il a traversé. Jusqu'à son propre nom. La seule identité qu'il lui reste, c'est un matricule tatoué sur l'avantbras gauche. Auschwitz.
Soigné par des médecins militaires français, il réapprend à vivre et découvre l'amour. Lentement, reviennent les images de son passé : l'arrestation, la détention au camp de Gurs et sa déportation.
Au gré de son errance dans Paris, un nom frappe sa mémoire, celui d'une station de métro. La retrouver, c'est renouer les fils d'une mémoire occultée.

Né à Varsovie, Joseph Bialot a fait le récit de son retour d'Auschwitz dans C'est en hiver que les jours rallongent, dont ce livre est en quelque sorte le pendant romanesque.

171 pages

Edition : 2006