Etat neuf, livre relié cuir; la couverture est à l'intérieur.
Il adhère aux Étudiants socialistes en 1932 et effectue alors un bout de chemin avec Roger Ikor, David Rousset, Léopold Sédar Senghor, Georges Pompidou. En 1934-1935, il est secrétaire général de la Fédération des Jeunesses socialistes de la Seine, et rédacteur en chef du journal Révolution Il entre en lutte ouverte avec la direction de la SFIO, Section française de l’Internationale ouvrière, trop réformiste à son goût.
Exclu en 1935, il collabore au journal trotskiste La Vérité. Le voici ensuite, pour quelques mois, secrétaire de Trotsky qu’il a rencontré en 1935 à Hoenefoss, en Norvège, où ce dernier était en résidence surveillée.
Il dénonce en 1936 les procès de Moscou, aux côtés d’André Gide, David Rousset, André Breton, Jean Rous. Il fonde dans la clandestinité le MNR (Mouvement national révolutionnaire) avec Jean Rous, Henri Sellier, Henri Barré, Maurice Jacquier. Après la guerre, il abandonne peu à peu toute activité politique publique, se consacre à ses activités de peintre, et se retire bientôt dans le vieux village féodal d’Èze, dans les Alpes-Maritimes